isolation exterieure quelle epaisseur

L’isolation est la solution parfaite pour répondre à vos besoins de confort et de rendement. Vous avez besoin de vivre dans une maison saine ? On vous recommande d’améliorer l’isolation thermique de votre habitation. Afin d’éviter les sensations de froid, pensez à éliminer les différentes sources de déperditions de chaleur. En effet, une perte de chaleur peut être entraînée par une toiture, un sol, une fenêtre, une porte ou une façade mal isolée. Si vous avez besoin de commencer un projet d’isolation, on vous conseille de commencer par l’isolation de votre mur extérieur.

Pourquoi isoler par l’extérieur ?

Parmi les différents types d’isolation, le fait d’isoler par l’extérieur vous permet de profiter d’un grand nombre d’atouts. C’est d’ailleurs pour cette raison que l’ITE ou l’isolation thermique par l’extérieur a su séduire un large éventail de foyers. En effet, c’est la technique la plus performante en matière d’isolation. Cette technique a également toute sa place en rénovation. Sa mise en place se révèle plus pratique que l’installation d’une isolation intérieure. Lors de la réalisation de votre projet, votre maison reste habitable. Son installation n’a aucun impact sur les dimensions de votre habitation. De plus, le fait de choisir l’ITE vous permet de profiter de plus de 70 % de rendement.

Savoir choisir l’épaisseur de votre isolant en ITE

Si vous souhaitez bénéficier des avantages de votre isolation thermique par l’extérieur, on vous conseille de tenir compte de l’épaisseur de votre isolant. En effet, ce critère joue un rôle majeur dans la performance thermique de votre isolation. Souvent, nous avons tendance à penser que plus l’isolant est épais, plus il est isolant. Mais pour connaitre la performance de votre isolant, il est important de tenir compte de sa résistance thermique et de sa conductivité thermique. Plus votre isolant laisse passer moins de chaleur plus sa résistance thermique est importante.

Besoin d’aide sur le choix de votre isolant ? Sachez que la résistance thermique minimum pour isoler les murs de l’extérieur est de 2,3 m². K/M à 2,8 m². K/M. En effet, la résistance thermique se calcule en divisant l’épaisseur du matériau par sa conductivité thermique.

Afin d’atteindre cette résistance, on vous recommande de choisir un matériau qui présente une épaisseur de 10 à 12 cm. On vous conseille également de penser au support de votre matériau avant de choisir l’épaisseur idéale. Si vous choisissez une épaisseur de 17 cm, vous pouvez atteindre jusqu’à 4, 3 m². K/M, c’est la résistance requise pour un niveau à basse consommation.

Trouver l’épaisseur idéale pour votre isolation thermique par l’extérieur est loin d’être un jeu d’enfant. Pour vous aider, on vous recommande de demander le conseil d’un professionnel.

dans quelle piece installer un chauffe eau thermodynamique

Toujours à la recherche du plus pratique mais du moins cher, on est constamment en quête de nouvelles idées pour faciliter notre vie. Economique et respectueux de l’environnement, le chauffe-eau thermodynamique nous offre cette possibilité de faciliter nos pratiques quotidiennes tout en réduisant nos factures. Vous voulez installer ce dispositif chez vous et vous avez besoin de vous informer sur le sujet ? Suivez cet article et découvrez dans quelle pièce vous devez l’installer.

Installation d’un chauffe-eau thermodynamique

Rappelons tout d’abord qu’à l’aide d’une pompe à chaleur, le chauffe-eau thermodynamique récupère l’énergie naturelle présente dans l’air pour chauffer l’eau du ballon. Son coté économique s’explique donc par le fait que la ressource qu’il utilise est gratuite et inépuisable. Donc il ne consomme que peu d’électricité et fonctionne à toute heure de la journée.

Venons-en à l’installation ! Pour fonctionner, cet équipement à besoin de capter les calories dans l’air et notamment d’un volume d’air de 20 m3 en moyenne. A cet effet, il aura besoin d’une pièce d’au moins 10 m2 à sa disposition. Il faut que cette pièce soit un local annexe de la maison car il aura besoin d’une pièce non chauffée et ayant une température stable (ou ne tombe pas sous les 5°C). Ce qui permet également d’éjecter l’air refroidi vers le jardin ou la cour. Par contre, si vous ne disposez pas d’un tel endroit pour l’installer, une autre solution existe. Vous pouvez choisir le modèle « split » avec lequel la pompe à chaleur sera installée à l’extérieur de la maison et le ballon d’eau sera stocké à l’intérieur.

Contre indication de l’installation

La performance globale de l’installation et la consommation de ce chauffe-eau sont liées. Pour plus de performance, il est idéal d’avoir une source d’air de 20° C et ne pas chauffer l’eau au dessous de 50° C. Si vous envisager d’installer votre chauffe eau thermodynamique à l’intérieur de votre maison, attendez-vous à une surconsommation de chauffage. Donc, on vous déconseille de le faire parce que le côté économique n’aura plus son effet. La pièce où vous envisagez d’installer votre CET ne doit pas être obstruée par aucun obstacle parce que l’air qui entre et qui ressort doit avoir libre accès. Par conséquent, ayez en tête que vous avez besoin de pas mal d’espace.

Il est tout à fait possible d’installer soi-même son CET parce que c’est une opération qui ne requière pas un niveau avancé de compétence. Cependant, il est toujours plus sûr de solliciter les services d’un professionnel parce que son installation joue un rôle majeur dans son fonctionnement et sa performance. La durée de vie d’un CET est en moyenne de 6 à 8 ans. Par conséquent, vous devez vous assurer que l’endroit dans lequel il est implanté sera toujours complètement accessible à l’air durant cette période. Dans le cas contraire la performance de votre appareil va être mise en jeu.

comment construire pergola

Un petit coin ombragé dans son jardin ! N’est-ce pas ce qu’il vous faut pour profiter au mieux de ces belles journées ensoleillées de l’été ? Si vous avez toujours projeté d’aménager une pergola dans votre jardin ou votre terrasse. Il est temps de concrétiser ! Qui plus est, on vous dévoile déjà toutes les bases de la construction d’une pergola à travers cet article.

Une pergola : c’est quoi exactement ?

La saison estivale est sans aucun doute la saison la plus propice pour faire des activités en plein air, se détendre dans le jardin et admirer la beauté de la nature. Mais avec cela, l’aménagement d’une pergola est incontestablement aussi le meilleur moyen d’ombrager efficacement la terrasse et le jardin. Nous sommes tous d’accord que pour pouvoir profiter d’un tel moment, il faudra également assurer une protection fiable contre le soleil de plomb. Et bien, une pergola a été justement conçue pour cela. En réalité, une pergola sert à couvrir une terrasse ou un jardin. Celle-ci se compose généralement de quatre ossatures de poteaux et de poutres. En PVC, en aluminium, en bois, tous les matériaux sont envisageables pour sa conception. En plus d’être un moyen d’ombrage très efficace et pratique, une pergola servira également d’agrément pour un jardin. Si vous voulez ainsi profiter du beau temps sans que vous ayez à vous éloigner du nid familial, la pergola demeure une valeur sûre.

Construire une pergola : par où commencer ?

L’heureuse nouvelle, c’est que la construction d’une pergola n’est pas seulement réservée à des professionnels. Que vous soyez un bricoleur en herbe ou un bricoleur du dimanche, avec un plan bien étudié, des matériaux et des outils de bricolage bien complet. Vous pourrez parfaitement vous lancer dans un projet de construction de pergola.

Ainsi, pour commencer, assurez-vous déjà de bien déterminer l’emplacement ou l’endroit à ombrager. Si vous voulez y aménager une pergola, c’est que l’endroit est forcément exposé au soleil à longueur de journée. Généralement, l’emplacement dédié pour une pergola est un emplacement accoudé à la façade l’habitation, ce qui donne directement accès à celle-ci. Ou autoportée, ici donc, elle sera placée soit au milieu du jardin soit dans un angle du jardin.

Une fois l’emplacement bien défini, il vous faudra maintenant passer à la détermination des dimensions de votre pergola. Ces dimensions dépendront ainsi de votre plan, de la forme et la surface de la pergola que vous voulez concevoir. Et bien entendu, de la surface et la dimension du terrain que vous disposez. Aussi, vous êtes libre de choisir le type de matériaux de conception et également libre sur le choix de la pergola (sur-mesure ou standard (en kit)).

À présent, il faudra passer au montage des platines. Quand ces dernières seront bien positionnés et fixés à l’endroit déterminer pour leur fixation, vous pourrez fixer les poteaux. Après avoir posé ces derniers, il faudra également poser les lattes et les traverses et les fixer convenablement. Une fois ces étapes achevées, vous pourrez enfin terminer la construction de votre pergola par une belle finition.

isolation porte de garage

Cela vous est déjà arrivé de vous sentir froid quand vous entrez dans le garage le matin ? Si tel est le cas, il vous est conseillé de vérifier l’isolation de la porte, car de l’énergie pourrait s’y infiltrer ou s’enfuir à tout moment. Nous allons voir à travers cet article comment isoler la porte du garage.

Commencez par réaliser un diagnostic avant d’acheter les éléments nécessaires pour isoler la porte

La première chose à faire pour bien isoler la porte du garage est de faire un état des lieux. Cela vous permettra de choisir l’isolation qui conviendra le mieux à votre porte de garage. Pensez ensuite à prendre les mesures précises afin de vous éviter des ennuis durant la mise en place de l’isolation. Vous devriez même prendre en compte l’espace entre la porte du garage et les éventuelles parois qui pourront avoir des impacts sur l’accessoire après votre intervention. Il est important de déterminer le matériau principal de votre porte. Après cela, il vous est recommandé de vous informer sur sa paroi, car cela aura des impacts sur vos travaux. Il ne vous restera plus qu’à établir le budget en fonction des informations que vous avez obtenues et acheter tous les matériaux et accessoires dont vous aurez besoin pour la réalisation des travaux.

Mise en place de l’isolant thermo-réflecteur

Vous pourriez commencer le travail en découpant les bandes d’isolants en tenant compte des dimensions de la porte. Ensuite, vous n’aurez qu’à nettoyer celle-ci avec un produit adapter au matériau et la laisser sécher longtemps. Étalez les bandes de ruban adhésif de 2 cm en double face. Assurez-vous que ces bandes seront distancées de 10 à 15 cm entre elles. Faites attention à bien coller votre isolant sur l’adhésif quand vous le poserez. Cela doit être fait du haut vers le bas. Utilisez un rouleau adhésif en aluminium pour servir de joints entre les plaques d’isolant.

Pose des plaques isolantes

Pour cette étape, vous devriez aussi découper les plaques de lièges ou de polystyrène en suivant les dimensions de la porte. Utilisez ensuite un pistolet à colle pour étaler de la colle sur les bords de la surface. Pensez à laisser 1 cm d’écart entre les bords afin d’éviter le débordement de la colle. Notez bien que vous aurez à faire en sorte que les plaques se rapprochent au maximum afin d’assurer l’isolation de votre porte de garage. Ainsi, vous pourriez poser les plaques l’une après l’autre en partant du haut vers le bas. En outre, n’oubliez pas de découper vos plaques quand elles atteindront la serrure de la porte.

Continuez par l’installation du bourrelet

Comme d’habitude, vous aurez à découper le bourrelet tout en vous basant sur les dimensions de la porte. Toutefois, faites attention à ne pas faire obstacle à l’ouverture et la fermeture de la porte. Mais cela ne veut pas dire que vous aurez le droit de délaisser certains bords de la porte. Après un lavage particulier des rebords, vous n’aurez plus qu’à coller le bourrelet à ces endroits et laisser reposer au moins pendant cinq minutes avant de faire quelques tests de fonctionnement.

Terminer par la pose du bas de porte

Dans cette dernière étape, vous devriez poser une bavette proche de la porte et contre le sol. Montez la bavette d’un cran au cas cela s’avère nécessaire. Pour cela, vous devriez tracer son emplacement sur la porte du garage afin que vous puissiez faire les trous facilement. Percez ensuite la porte en prenant bien compte des encarts que vous trouverez au niveau de la bavette. Cela vous permettra de la fixer correctement. Toutefois, n’oubliez pas de faire des tests pour vous rassurer.

Radiateur électrique : fonte ou aluminium ?

Pendant l’achat d’un nouveau système de chauffage, ne perdez pas de vue l’aspect financier et économique de l’appareil. Et pour cela, le matériau de fabrication du chauffage joue un rôle majeur. En effet, c’est de ce matériau que va dépendre la performance de chauffe de l’appareil et le niveau de confort dont vous allez bénéficier. En ce qui concerne les radiateurs électriques, ils sont disponibles en plusieurs modèles : en aluminium, en fonte, en acier, etc. Mais les deux plus performants restent ceux en aluminium et en fonte. Cependant, il va forcément falloir choisir entre les deux, l’aluminium ou la fonte ?

Partir sur un radiateur électrique en fonte

Le matériau fonte rivalise parfaitement bien avec l’aluminium. Que ce soit avec l’un ou l’autre, la diffusion de la chaleur se fait de façon harmonieuse et régulière. Néanmoins, face à un modèle en aluminium, le radiateur en fonte a la particularité de disposer d’une plus grande inertie thermique. Un matériau dense, la fonte est capable d’emmagasiner une quantité assez importante de chaleur pour pouvoir la restituer ensuite sur une longue durée. De cette façon, il n’est pas nécessaire de mettre en marche très longtemps le chauffage puisqu’il peut persister à diffuser de la chaleur même éteint. Cette technique permet de réduire de manière considérable la consommation énergétique du radiateur. Autrement dit, ce type de radiateur vous assure un retour sur investissement satisfaisant sur le long terme.

Inconvénients ? Le radiateur en fonte coûte plus cher à l’achat que le modèle en aluminium. Et à cause de sa masse et volume trop important, il est très encombrant prenant ainsi beaucoup trop de place dans la maison. D’autre part, sa forte inertie thermique peut dans le temps générer une sensation d’inconfort.

Zoom sur les radiateurs en aluminium

Le radiateur en aluminium est le chauffage le plus avantageux qui soit. Il monte vite en température et arrive à la maintenir stable un bon moment. Plus léger et moins imposant que son semblable en fonte, il ne ruine pas votre décor intérieur au contraire, il lui apporte une touche originale. Pour ce faire, il ne vous suffira que de jouer sur les couleurs et de les harmoniser avec le reste de la maison. Concernant sa consommation d’énergie, il n’est pas du genre gourmand en électricité. La preuve, il profite d’une consommation à la fois modérée et bien maîtrisée. Niveau confort, il propose une répartition homogène de la chaleur avec une bonne qualité d’air.

Parmi ses inconvénients, vous trouverez son besoin régulier d’entretien. Pour cause, le matériau aluminium ne se rouille pas, mais néanmoins, il s’oxyde. De plus, sa légèreté est autant un avantage qu’un inconvénient. De faible épaisseur, le radiateur en aluminium résiste difficilement aux coups et aux chocs. Résultat : il se déforme et s’abîme facilement.

avec quoi peindre escalier bois

Les escaliers en bois sont pratiques et s’avèrent être un atout de décoration incontournable. Néanmoins, ils présentent un désavantage non négligeable qui est son besoin régulier d’entretien. En effet, le matériau bois est esthétique certes, mais seulement s’il est bien entretenu. Dans le cas inverse, il a tendance à craquer au fil du temps et ainsi perdre sa belle couleur d’origine. Pour éviter ça, songez à entretenir fréquemment votre escalier notamment en lui remettant une couche de peinture de temps en temps. Justement, découvrez dans ce guide avec quoi et comment bien réussir la peinture d’un escalier en bois.

Le choix de la peinture à utiliser

Avant de faire quoi que ce soit, il faut d’ores et déjà trouver la teinte adaptée à votre escalier en bois. N’oubliez pas que l’escalier est une suite de marche qui sert de lieu de passage pour accéder à l’étage supérieur ou inférieur. De ce fait, il est crucial de veiller à ce que la peinture soit résistante et efficace. Si possible, privilégiez les peintures de sol qui résistent facilement aux épreuves du temps. Et l’important, c’est de choisir une teinte qui s’accroche et se colle parfaitement au bois. Concernant le choix de la couleur, vous avez l’embarras du choix : une couleur unique ou bien deux couleurs alternées. Pour plus de luminosité, préférez les couleurs claires et ensoleillées comme le blanc. Sinon, vous pouvez toujours jouer sur les coloris pour donner un effet contemporain ou théâtral à votre intérieur.

Comment peindre un escalier en bois ?

Étape 1 : préparez la mise en peinture de votre escalier

Avant d’appliquer une couche de peinture, mieux vaut nettoyer l’escalier et le dépoussiérer complètement avec un chiffon humide par exemple. Tâchez ensuite de combler les petits fissures et trous à l’aide d’un mastic de bois. Cette étape est importante pour éviter que ces trous ne soient révélés par la peinture. Puis, passez à l’application d’une résine d’accrochage via un pinceau ou un rouleau. Et tant que vous y êtes, veillez à bien protéger les murs contre l’application de la peinture, mais aussi toutes les surfaces qui doivent être protégées.

Étape 2 : procédez à l’application de la peinture

Un escalier en bois comprend une suite régulière de marches, des contremarches, main courante et des balustres. Pour une opération réussie, il vaut mieux commencer par le haut et redescendre doucement. Vous pouvez donc démarrer avec la main courante puis les balustres suivis des marches et enfin des contremarches. Pour plus de raffinement, évitez de surcharger en peinture la structure et préférez les couches fines. Lorsque vous aurez terminé l’application de la première couche, laissez-la sécher correctement avant de mettre la deuxième couche.

Chauffe-eaux électriques et thermodynamiques

Le chauffe-eau permet de chauffer une grande quantité d’eau en un temps raisonnable. Il existe en général deux types de chauffe-eau : chauffe-eau électrique et chauffe-eau thermodynamique. Tout sur ces équipements ?

Avantages et inconvénients d’un chauffe-eau électrique

Bien que classique, le chauffe-eau électrique continue de séduire bon nombre de personnes. Pour cause, il est plein d’atouts. Cependant, il a aussi des points faibles.

Ses points forts

Cet appareil est moins encombrant. Le chauffe-eau électrique est généralement de petit volume. Il prend facilement place dans les espaces réduits. Autrement dit, il s’adapte à toutes les pièces à vivre. Par la suite, ce modèle de chauffe-eau est facile d’installation. Cette étape ne requiert pas de grands travaux.

Ensuite, l’utilisation d’un chauffe-eau électrique vous permet de faire des économies d’énergie. En effet, cet appareil peut être branché en heures creuses, ce qui fait réduire votre facture d’électricité. Enfin, cet appareil répond aux petits budgets. Celui-ci coûte moins cher par rapport aux autres types de chauffe-eau.

Ses points faibles

Comme il s’agit d’un appareil électrique, le chauffe-eau reste quand même énergivore. En effet, l’électricité est l’une des énergies les plus onéreux de nos jours. L’utilisation permanente d’un chauffe-eau électrique risque de faire grimper votre facture. Le chauffe-eau électrique demande jusqu’à 8 heures pour pouvoir chauffer de l’eau à la température voulue.

Avantages et inconvénients d’un chauffe-eau thermodynamique

Le chauffe-eau thermodynamique est un cumulus équipé d’une pompe à chaleur. Il fonctionne à l’aide des fluides frigorigènes. Celui-ci vient concurrencer son homologue chauffe-eau électrique dans plusieurs domaines.

Ses avantages :

Pour fonctionner, le chauffe-eau thermodynamique chasse les calories présentes dans l’air de la maison pour mettre au chaud l’eau dans le ballon, puis rejette l’air froid. Aussi, il se montre économique puisqu’il consomme moins d’énergie par rapport au modèle électrique. Ensuite, l’appareil respecte bien les exigences de la RT 2012 pour les maisons neuves, car il utilise une énergie renouvelable.

Le chauffe-eau thermodynamique se montre également écologique. Il respecte l’environnement. Pour cause, il ne rejette pas de gaz à effet de serre. C’est pourquoi il est éligible au crédit d’impôt.

Ses inconvénients

Comme il s’alimente à l’électricité, le chauffe-eau thermodynamique consomme de l’électricité. Donc, il ne fonctionne pas 100 % en énergie renouvelable. Côté confort, il faut savoir que ce chauffe-eau s’équipe d’un ventilateur. Cet équipement est bruyant sur certains modèles. Aussi, il faut bien choisir son emplacement pour éviter cette gêne. De plus, le chauffe-eau thermodynamique nécessite une pièce plus de 20 m3 non chauffée.

Comment choisir le radiateur qui vous ressemble ?

Il existe actuellement de nombreux modèles de radiateurs entre lesquels vous avez la possibilité de choisir. Pour ce qui est du modèle à acquérir, il n’y a pas de bon ou de mauvais modèle, tout est question de gout, à condition cependant de rester dans une gamme de produits performants et de bonne qualité.

Le principe de fonctionnement d’un radiateur

On utilise le terme radiateur pour désigner tout appareil qui est utilisé pour générer de la chaleur, puis pour transférer la chaleur en question vers un espace spécifique. Pour ce faire, le principe généralement utilisé consiste à chauffer l’air, au moyen de différentes approches, dont la convection, qui est un phénomène naturel. L’air qui est attiré dans la partie chauffante du radiateur devient plus léger en raison de la chaleur qui y est transférée, et celle-ci émane ensuite dans le reste de la pièce où le radiateur se trouve, plutôt que de stagner.

Les méthodes utilisées par un radiateur pour générer de la chaleur sont diverses, et on retrouve par exemple ceux qui utilisent de l’électricité. Ceux-ci s’accompagnent d’une résistance, qui convertit directement cette énergie en chaleur, et son fonctionnement est donc parmi les plus simples. On retrouve aussi ceux qui utilisent d’autres sources d’énergie comme le gaz de chauffage, qui est utilisé soit pour chauffer directement l’air, soit pour chauffer un liquide dit caloporteur, et qui est envoyé en circulation dans les différentes parties de votre maison via un réseau de tuyaux.

Que recherchez-vous chez un radiateur ?

Il y a plusieurs critères à favoriser chez un radiateur, et l’un de ceux-ci est la consommation d’énergie. Il est possible pour un radiateur d’être économe, d’être écologique, et les deux à la fois. Tout dépend du type d’énergie que vous souhaitez utiliser pour le faire fonctionner au quotidien. Si l’ensemble des besoins de votre maison en termes d’énergie est couverte par des dispositifs comme les panneaux solaires, il vous est fortement recommandé de faire l’acquisition d’un modèle qui fonctionne avec l’électricité.

Si vous disposez d’un accès facile à du gaz naturel, par exemple si la maison dans laquelle vous vivez est déjà raccordée au réseau, il peut vous être intéressant de vous tourner vers cette option. Des éléments comme les dimensions de votre maison sont également à prendre en compte. La chose à faire est d’identifier votre profil en particulier, et puis de partir à la recherche des radiateurs qui viennent répondre à cela.

Comment trouver de bons radiateurs ?

Il n’est pas conseillé de se lancer vers la première offre de radiateur qui vous est proposée, et par exemple, on doit vérifier les différentes références du produit, notamment pour en connaitre les caractéristiques. Lorsque vous faites un achat en ligne d’un radiateur, assurez-vous que le site propose bien des marques connues et réputées comme étant de qualité.

Il faut aussi vous assurer que le service client fourni soit à la hauteur de vos besoins, et que les agents clientèle puissent bien vous prendre en main ainsi que vos problèmes. La possibilité de faire remplacer votre achat en cas de défaut de fabrication doit être effectif, car autrement vous vous retrouveriez avec un appareil défectueux dont vous ne savez pas quoi faire.

Chauffage electrique : le remplacement des equipements vétustes est un enjeu majeur

Actuellement, beaucoup de foyers continuent de se chauffer avec des équipements de chauffage vétustes et énergivores alors même que les chauffages modernes et économiques sont déjà disponibles sur le marché. Pour quelle raison ? Et bien, c’est simple, ils ignorent l’existence de cette nouvelle solution de chauffage qui permet à la fois de profiter d’un maximum de confort et de réaliser des économies. Ainsi, il est temps de les tenir informer et de les persuader de remplacer leur équipement vétuste par les nouvelles générations de chauffage électrique des plus performants.

L’intérêt de remplacer les équipements de chauffage vétustes

Saviez-vous qu’un vieil équipement pouvait vous enlever tout sentiment de confort ? Eh oui, plus il est ancien, plus il devient de moins en moins efficace. Mais surtout, il devient plus gourmand en électricité augmentant ainsi votre facture d’électricité de manière considérable. Et qui dit surconsommation d’énergie, dit forcément surcoût. Pour remédier à ce problème, la solution est d’acquérir un nouvel appareil de chauffage électrique. Et puis, ce ne sont pas les modèles qui manquent présentement. On recense d’ailleurs une multitude de radiateurs électriques qui inonde littéralement le marché du chauffage. Il y en a des plus basiques tels que les convecteurs vers les plus efficaces, à savoir les radiateurs à inertie. Mais sachez toutefois que les convecteurs dits « grille-pain » sont à bannir en raison de leur manque d’efficacité. Leurs performances sont moindres et ils ont tendances à assécher l’air.

Le radiateur à inertie : le chauffage idéal !

Le radiateur à inertie est ce qui se fait de mieux de nos jours. Il cumule les avantages possibles pour offrir à ses usagers le confort et la praticité dont ils ont besoin. Concrètement, ce type de radiateur, aussi appelé radiateur chaleur douce, est un système de chauffage pourvu d’un corps de chauffe qui peut être solide ou liquide. Grâce à ce corps de chauffe, la chaleur produite peut être stockée ce qui va permettre de chauffer la pièce même une fois l’appareil éteint. Il s’agit là du phénomène de l’inertie, la capacité d’un matériau à emmagasiner de la chaleur puis de la restituer le plus longtemps possible. Nul doute, c’est la solution idéale pour économiser de l’énergie tout en maximisant le confort thermique vu qu’il n’a pas besoin de rester longtemps en marche. En outre, la diffusion de la chaleur se fait par rayonnement et surtout, de manière homogène. La pièce bénéficiera ainsi d’une température constante et stable durant de longues heures. De quoi combiner performance et sensation de bien-être indiscutable.

comment nettoyer tuyau vmc

L’installation d’un système de ventilation vous permet de profiter d’un grand nombre d’atouts. Grâce à ses atouts, les fabricants ont décidé de proposer différents modèles. Parmi ceux qui sont mis en vente sur le marché, la VMC ou la ventilation mécanique contrôlée est devenue de plus en plus prisée. Du fait de son fonctionnement, ce type de ventilation vous permet de vivre dans une maison à la fois saine et confortable. Connue pour sa robustesse et sa facilité de mise en place, la VMC est également simple à entretenir. On vous propose de trouver dans cet article, les étapes à suivre afin de faciliter l’entretient de votre VMC.

Pourquoi nettoyer votre VMC ?

Beaucoup d’incidents peuvent être entrainés par une VMC non entretenue. Si vous tenez également au bon fonctionnement de votre appareil, il est important de penser à son entretien. En effet, il est important de savoir que votre système de ventilation a besoin de respirer. Un manque nettoyage peut avoir des conséquences négatives sur votre habitat. Une surchauffe peut entraîner un incendie. L’accumulation des poussières pourrait être néfaste pour votre santé. Une VMC est connue pour sa robustesse, au fil du temps votre appareil peut rencontrer des dysfonctionnements. Pour cela, procédez au nettoyage régulier de votre VMC.

Quand faut-il entretenir votre VMC ?

L’entretien de votre appareil doit se faire tous les ans. Vous pouvez également aspirer vos filtres tous les 3 à 5 mois. C’est une réalisation à la fois facile et rapide. Mais, si vous pensez que vous n’avez pas les compétences nécessaires, on vous recommande de faire appel au savoir-faire d’un professionnel.

On vous conseille également de penser au nettoyage de votre VMC à la fin de la période de grand froid. En effet, c’est en hiver que vous utilisez le plus votre système de ventilation. C’est lorsqu’on met en marche notre chauffage que la poussière tend à remonter vers le plafond et elle s’accumule le plus dans votre VMC.

Le nettoyage de votre système de ventilation

Pour commencer, on vous conseille de couper votre courant. Une fois que c’est fait, vous pouvez démonter les bouches d’aération. Si vous souhaitez entretenir le tuyau raccordant les bouches d’aération au moteur, on vous recommande de le nettoyer avec une éponge imbibée de liquide vaisselle ou de savon. Vous pouvez également aspirer les poussières incrustées à l’entrée de chacune des bouches d’aérations à l’aide d’un aspirateur. On vous conseille également de toujours privilégier les tuyaux dans les pièces les plus utilisées comme la chambre, la salle de bain ou encore la cuisine.

Si vous souhaitez nettoyer les grilles de ventilation, on vous propose de prendre un seau d’eau chaude et de prendre une éponge. Il vous suffit de nettoyer et puis rincer votre grille. Avant de l’utiliser, on vous recommande d’essuyer soigneusement votre appareil.

Une fois que l’entretien de votre appareil est terminé, on vous suggère d’attendre que les pièces se sèchent et de remettre les bouches d’aération et de monter votre système de ventilation mécanique contrôlée.